La piXine – chapitre 6

Victor, Takeshi et Jean-Luc

Avertissement : cet article est un récit érotique gay, il suggère et évoque des relations (homo)sexuelles, réservé à un public averti !

Je vous propose ce récit en dix chapitres, basé en partie sur la réalité, prolongeant mon expérience et partageant mes fantasmes. Il est volontairement progressif et détaillé car je pense que le verbe a une puissance évocatrice plus forte que les images dans l’esprit du lecteur intéressé, j’espère ainsi qu’il éveillera en vous des impressions plaisantes et du désir. À vous de me le dire ! Deux illustrations par chapitre pour vous mettre dans l’ambiance, pas plus, certaines sont issues de mes archives personnelles, je vous laisse deviner lesquelles…

En voici le sixième volet, m’ouvrant tout entier à mon monde. Vous pourrez accéder à la suite et naviguer entre les chapitres à la fin.


Chapitre 6

Victor, Takeshi et Jean-Luc

Je me retrouvai comme au début de la première séquence au bord de la piscine, quoiqu’un peu plus fatigué, ayant déjà beaucoup transpiré, passablement élargi, et la barbe pleine du souvenir de Michel. J’essayai de faire bonne figure sur mon transat, alors qu’un bruit de klaxon tonitruant se fit entendre. “Michel ?”, héla une voix au loin, qui se rapprocha. “Salut, tu n’as pas vu Michel ?” C’était Victor et je dois dire que j’étais content de le revoir, même si je savais qu’il jouait un rôle. “Il est parti faire une course”, répondis-je. Le dialogue continua :

“– Tu es son nouveau jouet ?

– Oui, je crois que c’est comme ça qu’il m’appelle.

– Je vois que vous avez déjà commencé les amusements“, en me caressant la barbe et en suçant son doigt ensuite. “Tu veux bien jouer avec nous ?

– Je ne sais…“

Mais je n’eus pas le temps de finir. Il était déjà parti et revint rapidement avec deux comparses, Takeshi et Jean-Luc. Comme Victor, ils étaient simplement vêtus d’un maillot de bain, très moulant je dois dire, révélant beaucoup de promesses et aiguisant mon appétit encore vif. “Les gars, Michel n’est pas là mais on peut s’occuper de son jouet”, en me désignant, “je suis sûr qu’il n’y verra aucune objection.”

“Euh…”, mais mes protestations (molles) passèrent inaperçues. “Attendez, je vais appeler le reste de la troupe pour qu’ils en profitent aussi.” Il mima un appel au portable, et je me dis que la nouvelle scène allait commencer et qu’elle promettait d’être torride.

Tous debout face à moi, je sentis que c’était à mon tour de jouer. Que voulait dire exactement Bernard par “je veux que ça ait l’air vrai” ? Pour moi, c’était on ne peut plus réel, il voulait parler de son scénario sans doute. Au diable, j’avais devant moi trois mâles superbes et j’allais en profiter. D’abord, chatouiller chaque maillot de ma langue. Puis, découvrir ce qui s’y cache, et continuer la révélation pour que chacun s’exprime. Victor était grand, ses attributs étaient ajustés à sa taille, et il était bien taillé de la tête aux pieds, je lui donnai quarante ans. Takeshi, le type asiatique, moins imposant mais qui démontrait de la vigueur et de l’énergie. Et Jean-Luc, un véritable colosse, le corps huilé, faisant de moi une mi-portion, en me demandant si j’allais lui tenir…

Trois fruits

J’en étais à avoir baissé chaque maillot, chacun s’en étant ensuite rapidement débarrassé d’un coup de pied, et à lubrifier chaque outillage avec application à tour de rôle. Les goûts étaient variés, tous avec une saveur agréable mais différente, et j’anticipai déjà celle de l’ambroisie que je voulais boire goulûment. Nous n’en étions pas là, estimant pour ma part le cas de Jean-Luc, et en bon ingénieur me demandant quel diamètre il pouvait bien faire à son maximum, celui-ci semblant croître vers l’infini au fur et à mesure que je le travaillai.

Takeshi me démontra alors qu’il fallait compter avec lui, son ventre contre mon dos, en me soulevant debout par la taille et en me positionnant habilement, puis me tenant par le bas des cuisses de ses mains alors qu’il se pencha un peu en arrière. Aucune résistance ne s’opposa à son entrée, et il profita de sa forme athlétique pour me montrer qu’il n’y avait pas que la dimension qui comptait. Après quelque temps, Victor se rapprocha de moi par devant et profitant de sa stature, saisit mes cuisses et me détachant de Takeshi, s’attacha alors à moi. Il rentra lui aussi sans difficulté, il faut dire que la dernière heure m’en avait déjà vu passer, mais c’était particulièrement plaisant de se trouver dans cette position, les bras enroulés autour de son cou, alors que la gravité assurait une profondeur maximale.

Après au moins cinq minutes, il me porta jusqu’au transat et m’y allongea sur le dos, en se retirant doucement. Je compris ce qui allait m’arriver. Jean-Luc s’approcha, et son instrument était d’une autre ampleur. Je visualisai mieux ce que voulait dire Michel sous la douche, et brutalement mon plug me paraissait bien futile, ce que je voyais devant moi tenant plus du rouleau à pâtisserie que d’un organe de chair. Je m’écartai autant que je le pus afin d’accueillir l’imposant visiteur, qui fouilla, refoula, insista, moi aussi, força… Nouveau coup de Swiss Navy, rebelote, ses mains m’écartèrent plus encore, me tirèrent tout entier sur lui, et ouf… je poussai un long râle, alors que l’entrée fut passée. Le reste suivit progressivement mais sûrement, le plus dur était fait, le meilleur à venir.

Ce fut un sentiment extraordinaire que cet élargissement, doublé d’un mouvement de va-et-vient puissant mais doux et maîtrisé. Cela me mit en émoi et dans un état second, de sorte que je ne réalisai pas le temps qui passait, et j’eus l’impression que ce moment ne dura pas assez longtemps quand finalement il se retira. Mais non, c’était juste pour me retourner et me mettre à quatre pattes sur ce transat, m’écarter à nouveau et rentrer une seconde fois, bien plus facilement, ayant gardé la mémoire de sa forme, et espérant m’en accommoder jusqu’à la fin des temps. Encore une demi-éternité où j’espérai que rien ne s’arrêterait, et la caméra devant mon visage en gros plan captura chaque instant de plaisir qui passait devant mes yeux et dans mon corps.

Malheureusement ce moment de pur bonheur devait finir, car un second coup de klaxon retentit pour annoncer la suite et suivre ce maudit scénario. “Eh, ils sont arrivés”, cria Victor, et trois autres gaillards débarquèrent alors. Jean-Luc me laissa pantelant, transpirant, toujours à quatre pattes, et la caméra se fixa longuement sur mon séant offert au ciel, laissant voir un orifice parfaitement rond et ample comme il m’avait formé, pulsant et respirant abondamment prolongeant le rythme qu’il m’avait imprimé, ainsi que je le visionnerai par la suite.

Trou de puits 2

“Le jouet est là, on a commencé un peu sans vous”, dit Victor, “on l’amène au kiosque ?” Ah, le fameux kiosque, là-haut, au moins on serait à l’ombre. Les trois nouveaux étaient déjà entièrement nus – simplifions le scénario – et nous montâmes tous, moi jeté sur l’épaule de Jean-Luc tel un sac de riz, suivis par les caméras, pour arriver sous la charpente du fameux kiosque où trônait ce mobilier étrange.

(À suivre…)


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